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Carême... et vous

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Carême... et vous ?

 

Si vous suivez mes écrits, vous n’ignorez pas que Pâques est une époque épique. En attendant, nous marchons sur des œufs à cause d’un virus qui s’est auto-proclamé monarque absolu, s’emparant de la couronne hérissée d’épines, en tyran, sous la lumière des spots. Sans parents ? Non, il ne crée pas une maladie orpheline, car, si on lui cherche aussi un remède, elle n’en a pas la rareté… Elle est même aussi courante que la main, dont la paire se doit d’être soigneusement et fréquemment savonnée. Cela nous le savons, comme un certain savant de Marseille obligé de travailler au noir. Lui, ses partisans le savent honnête, ses détracteurs, pas net, l’estimant eux aussi mais… sur la pente savonneuse. La vérité, un jour, tombera le masque. Pour l’heure (celle qui a disparu dans la nuit de samedi à dimanche — au fait, que faisiez-vous à cet instant fatidique ? J’espère que vous avez un bon alibi, celui qui est commis sert) donc, pour l’heure, chacun espère l’avènement d’un Zorro. Là, vainement ?

 

Si vous suivez mes écrits, vous n’ignorez pas que Pâques est une époque épique. Non, je ne radote pas, je reprends le fil. Vous allez comprendre où je veux en venir.

Pâques est la fête de la résurrection par la rédemption. Cette année, c’est le douze, ce doux avril en puissance. Le moment idéal pour une libération si un grand nombre de consciences s’y est consacré pendant la quarantaine obligée, cet appel au carême… ton prochain. Le retour à la vie (re-naissance) est à ce “prie”, et, ma foi, il fallait que nous “passions” par là. Avec l’espoir que les hommes de pouvoir, quittant leur rôle de piètres rois des pitres, aient à leur tour l’esprit ceint d’une couronne… éclairée, celle-ci !

 

Carême… et vous ? C’est la voie, la voix du cœur que nous rappelle ce corona… rien, non rien n’est plus vital.

♔♣︎ 29 mars 2020

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L’image (Pixabay) : le papillon est un symbole d’une transformation, une renaissance réussies.

 

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