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Maximes, aphorismes et cætera

Maximes, aphorismes et cætera

Maximes, aphorismes et cætera

470. Le comble du vétérinaire, c'est de soigner un mal de chien par un remède de cheval.

469. Le comble d'un conducteur de train, c'est de repartir sans crier gare.

468. Le comble du professeur de chant est de donner une mauvaise note.

467. Le comble d'un professeur de musique est de dispenser des fausses notes à l'examen blanc... couac on entende.

466. Le comble du marcheur c'est de rester debout dans la gadoue.

465. Le comble de la fidélité marine, c'est qu'au retour au port d'attache on voit liés les corps d'âge.

464.Le comble du gagneur est d'aimer la période des fêtes.

463. Le comble du diablotin est de vous promettre une bonne fin damnée.

462. Le comble du pêcheur est de prendre un thon rigolard à la question : "votre poisson est-il hareng ?".

461. Le comble du carnaval, c'est quand nos frères sont noceurs.

460. Le comble de l''avocat est de s'occuper avec passion des fruits défendus.

459. Le comble de l'homme de main est de répondre présent avec un air absent.e.

458. Le comble des personnes alitées est de conter des histoires à dormir debout.

457. Le comble de la sirène est d'être accompagnée par un piano à queue jouant un air marin.

456. Le propre de l'épéiste est qu’il finit toujours par rendre lame.

455. Le comble d'une fidélité marine : au retour au port d'attache se voient liés les corps d'âge. (L'amarrée n'est jamais trop belle ! D'une caravelle, l'escale aère au port.)

454. Le comble du dormeur est d’avoir un sommeil de plomb sur un oreiller de plumes.

453. Le comble pour un vieux stade, c’est qu’il soit plein comme un neuf.

452. Le comble de l’artiste peintre amoureux est d’attendre un mot d’elle.

451. Le comble de l’agneau, c’est d’avoir une faim de loup !

450. Le comble du fauve, c’est de sortir de sa réserve naturelle.

449. Le comble d'un moine trappiste, c'est de finir en bière.

448. Le comble du chasse-heure est de tuer le temps.

447. Le comble de l'herboriste, c'est de prendre l'air au thym en vous parlant des simples.

446. Le comble de l'athée est de se montrer odieux.

445. Le comble du cheminot en train de pêcher, c'est quand le poisson, au bout de sa ligne, se voit ferré.

444. Le comble d'un condamné à la guillotine, c'est quand il s'entête à plaider non coupable.

443. Le comble du conteur content est de  ne pas compter son temps.

442. Le comble du courage, c'est quand il rend trop heureux.

441. Le comble du fils unique c'est d'être censeur.

440. Le comble d'une grenouille est de conjuguer le verbe coasser à tout l’étang.

439. Le comble de la gourmandise ? Oh  ! une histoire sans faim.

438. Le comble du lapin est de ne pas être fan des carottes.

437. Le comble du pompier wallon est de s’exprimer en flamand.

436. Le comble du potage est d'être servi sous peu.

435. Le comble du mauvais potage est d'être servi sous peu… à la grimace.

434. Le comble du professeur de tennis est de voir ses élèves sécher les courts.

433. Le comble du coureur enrhumé, c’est qu’il s’enroue quand sa chaîne se grippe.

432. La multiplication des pains, c'est une question de fois.

431. [Invasion linguistique] On en perd notre langue, à s'être Anglais.

430. Signe d'étang ? Ce sont les choucas qui annoncent qu'il fera encore beau.

429. Le comble du bûcheron, c'est que le poids du bouleau le rende un peu plié.

428. Le comble du bûcheron agonisant, c'est que du cimetière il n'a jamais été si près.

427. La brasse est la spécialité d'un nageant double.

426. Est-ce que le serveur serre le café qu'il sert au café-concert ?

425. Qui se faisait incinérer par ses dernières volontés veut des cendres pour mieux s'élever.

424. On peut ne pas aimer, qui le cresson, qui le radis... alors qu'on a cru s'y faire !

423. Le propre d'une musique céleste, c'est qu'elle se mêle aux dieux.

422. Peut-on dire d'un vieil ami hébergé qu'il est hôte antique ?

421. Des chaussons pour le cul-de-jatte ? Il ne s'en brode qu'un…

420. Le comble du bûcheron est de préparer son casse-croûte avec un bouleau coupé.

419. Notre monde a deux faces. Au clair de l'une s'oppose l'ombre de l'autre.

418. Le meilleur est à venir, car l'an terne produit la lumière.

417. La musique militaire, c'est de l'art mais c'est de l'art et public.

416. Le comble du maçon est d'être mis au pied du mur par un “lie sans ciment”.

415. Qui embrasse une carrière de brasseur… en brasse, de la bière !

414. Quand sur un colis on lit “haut : fragile”, on imagine le “bac à sable”.

413. Il ne faut pas confondre un sentier sinueux et un chemin de travers[e].

412. Le comble du fakir est de traverser en dehors des clous.

411. À la poste, on est facteur et fier de lettres !

410. Une Gauloise abusait de la cervoise ; naturellement un jour, mise en bière, elle le fût.

409. Le proverbe assure : “Qui a bu, boira”. On ajoutera à ce vers : “Oui, en verre et contre tous !”

408. Jadis, le roi criait à l'échanson : “à boire !” Il nous est resté “les chansons à boire”...

407. Se noyer dans l'alcool, c'est jeter une bouteille à la mer. La mer Picon, parfois...

406. Une tarte entière divisée en trois reste en tiers.

405. Le propre du champion ? Même quand il est seul, il arrive à se dépasser.

404. Si l'abricotier ne donne pas de baies, la baie peut fournir un abri côtier.

403. La peau lisse veille au grain ; qu'elle devienne rugueuse serait un non-sens, un sens interdit, coi.

402. “Café-rando” : étancher sa soif ? À ce bistro-là soit fait.

401. Le comble du verre vide est celui que l'on rend versé.

400. La sobriété est une vertu, mais remplis d'alcool, les verres tuent.

399. Devant une soif avide de vin, la bouteille toute vide devint.

398. Qui aime la vie, à pleines dents la mord.

397. La vache est un animal bien pansant.

396. Le propre du Père Noël est de parler d'un ton enjoué.

395. Le comble de la jalousie, c'est de faire mourir d'envie.

394. [Anagramme] Le TSIGANE aime les GITANES.

393. [Anagramme] Les LIS au SOLEIL fleurissent les LILLOISES.

392. [Anagramme] Une FIN MAGIQUE, c'est MAGNIFIQUE.

391. Le fruit de la pêche peut se trouver dans un abri côtier.

390. Que le crime ne paix pas, cela ne m'étonne guerre.

389. Le comble du professeur de musique, c'est que ses élèves n'écoutent pas là le son.

388. [Football] Quand une équipe ouvre le score rapidement, ses supporteurs espèrent que ce n'est qu'un des buts.

387. S'exprimer à la première personne, c'est se prendre au je.

386. Les fibres naturelles sont tissu des végétaux.

385. Le comble du bûcheron éreinté, c'est quand il s'en va scier en vacillant.

384. Être sous l'influence de la lune peut mettre en lumière un des astres dans sa vie.

383. Le comble de l'écrit-vin ? Il crée ses pages en feuilles de vigne.

382. Le comble du bûcheron est de prendre un air abattu.

381. Le comble d'un apprenti horloger est de ne pas savoir remonter la pendule qu'il a démontée.

380. Un vêtement en location est un prêt à porter.

379. Un livre blanc est il toujours blanc, ouvert ?

378. Si le travailleur consciencieux s'attelle à la tache, la caravane s'attelle à l'attache.

377. Si la vue est l’un des sens, le voyeurisme est indécence.

376. [Jamais qu'ont temps] Si le temps ensoleillé sait faire hâler, le temps maussade peut faire râler.

375. Le comble d'une compagnie aérienne, c'est de multiplier les escales à tort.

374. Le bon joueur de cartes a réponse atout.

373. Le comble des prisonniers est de voir leur jugement en délibéré.

372. Au premier janvier, là naît l'année.

371. Les vagabonds qui gardent le parking, sans jouer alors au dateur, n'attendent pas la relève.

370. Perdre contenance, c'est sang fuir.

369. Une phrase peut s’étirer et (entre parenthèses) — grâce à l’incise — n’avoir point de virgule !

368. ”Qu’il te laisse à ton triste sort, sire ? S’il te laisse à ton triste sire, sort !”

367. [Oh ! en couleurs !] “La phrase écrite en mauve, lis-là !”

366. La vie délivre la maman à l'accouchement ; la mort délivre l'âme du défunt.

365. Les cris viennent de la voix comme l'écrit se lit, se voit.

364. [En rang donnés] [bis] Qui aime sortir des sentiers battus ne suit pas les traces des pas sillonnés.

363. [En rang donnés] Sur les chemins détrempés, la boue aux pieds se mêle.

362. [Poisson-chat] Chat, non ? chat, si ! Poisson non ? poisson, si !

361. Un mot contient plusieurs lettres, comme une lettre détient plus d'un mot.

360. Si l’écrivain a besoin des lecteurs, l'homme politique a besoin d'électeurs.

359. Si l'arme fatale fait mourir sur le coup, larme fatale fait mourir de chagrin.

358. L’imprimeur relie les livres, le correcteur les relit.

357. “Mes mots rendent homme, souviens-t-en, mon fils.”

356. [C'est tout verrou fermé] Un verrou à l'envers est ouvert.

355. Qui dit : “mon frère est né” en est lui-même l'aîné.

354. Un sommeil interrompu par la douleur ? Douleur matinale du réveil !

353. On oppose l'écrit à l'oral. Pourtant, les cris, c'est oral !

352. [En voiture, en voilà] On dit que l'autoroute est monotone, mais parfois il y a ce qu’on voit, exceptionnel.

351. [Mal entendu] “Ce secret lui a été confié par mes gardes.”

350. [Beau bar] Contre le coup de barre, au mètre l'on prend la bière.

349. Six personnes présentes, c'est plus bruyant que si personne n'est là.

348. Trois mots pour un palais himalayen ? N'est pas laid.

347. Notre corps est, par essence ! composé d'eau. Ni trop, ni trop peu, voilà l'eau sature.

346. Parole de gourmand : c'est pour le palais, des glaces.

345. Cet ami dit : “Un coup d'encensoir, cela m'atteint.”

344. Un comble ? Passer “la soirée” debout.

343. La tempête, c'est le vent très fort, oui, s'élevant très fort...

342. [Plaisante-riz… jaune] [bis] Quand le casse-tête est chinois, c'est la bouteille à encre… de Chine.

341. L'homme qui pousse au trottoir est dit “mac à dame”.

340. {De la vitesse de la lumière] Le comble de la lumière est de foncer.

339. [Plaisante-riz... jaune] Un jour, les éclats de riz rond nourriront aux éclats.

338. C'est quand il est en froid avec son passager qu'un chauffeur est susceptible... de briser la glace.

337. C'est l'histoire d'une jeune fille qui, d'office, se retrouva au pair.

336. Le navire qui a jeté l'ancre, mouille ; l'animal qui jette l'encre, seiche.

335. Il est inlassable, ce mouvement des vagues qui, sur les récifs, vont se briser les eaux.

334. Que les lettres du facteur soient en désordre, c'est l'usager qui voit tomber la facture !

333. Les E dans l'O font-ils les mots laids des E durs ?

332. Donner son écot, c'est difficile quand on est Écossais.

331. Le rapport entre un maître-nageur et un maître-brasseur ? À nul autre pareils, tous deux leur carrière en brassent.

330. Celui qui lie cépages est un homme de culture.

329. Qui fait de l'ombre, nuit.

328. Des calembours appelés des feintes peuvent rester lettres mortes.

327. C'est l'histoire d'un capitaine au long cours, que l'on pendit haut et court.

326. Une mauvaise habitude, on la prend... à ses dépens.

325. Un texte anonyme n'est jamais si niais.

324. Le comble d'un faussaire est de faire défaut.

323. Le comble de l'archéologie, c'est qu'elle ait ses temps forts en fond de vase.

322. Le comble du camping c'est qu'il se pratique en dilettante.

321. Surpris par l'orage ? Comme c'était tonnant ! Et clair !

320. Si c'est effrayant, on y “peur” rien.

319. Du bleu à l'âme ? Besoin d'un petit verre ? Avec l'alcool, la vie peut être cirrhose !

318. Le comble de l'orateur comique devant l'assistance : il l'haranguait.

317. Jusqu'à son dernier souffle, l'avare compte jusqu'à son dernier sou... pire !

316. Une nouvelle religion, c’est une foi de plus.

315. Des danseuses au palais de la reine Cléopâtre, c'était parade isiaque.

314. Le poète inspiré, les mots il les a d'or.

313. [La mort sûre] Le poisson qui à l'hameçon mord amorce sa mort.

312. Les friands disent adorer les bonbons.

311. Pour un pilote, la course Paris-Dakar c'est la voie désert.

310. Les marchands du Temple étaient des marchands de foi. Qui a cru s'y fier ?

309. Le propre d'une entreprise de pompes funèbres est de travailler à des fins commerciales.

308. Au football, le joueur distillant la passe décisive est le distri-buteur.

307. Pour un amoureux de la nature, la campagne c'est tout champ.

306. Que la rivière déborde de son lit, qui l'eut crue ? Il faut se méfier de l'eau qui dort !

305. Les vents d'ange ne soufflent pas en vain, mais donnent un breuvage dit vin.

304. C'est bien beau de sabrer le champagne, mais qui casse les verres... l'épée !

303. Le comble de la bière de Noël, c'est qu'elle se délivre en packs.

302. L'attention est à tendre ce que la tension est à attendre.

301. Les élèves appliqués, à leurs devoirs le sont.

300. Pour montrer qu'il est bien vivant, le chien mord.

299. C'est au fond du verre devin que l'avenir se lie.

298. L’on dit que l’année vaut l’an. Mais le temps n'est pas lent. Il passe vite, comme s'il volait !

297. La censure étouffe l'écrit et de l'expression ne laisse que la pression.

296. Attirés, aimantés par la lumière des spots, les insectes aux lampes adhèrent.

295. D'une lumière éblouissante, un trop grand halo gêne.

294. Renoncer à mes rêves ? Que nenni ! Je ne me rends jamais qu'à l'évidence !

293. C'est bien le comble... qu'un des fleurons de l'œuvre de Tolstoï ne puisse être guère épais.

292. Une année en tiers égale quatre trimestres.

291. Le drame de l'orphelin, c'est qu'il n'a pas d'heureux père.

290. Rompre le silence peut provoquer des éclats de voix.

289. L'auto qui perd sa roue emmène par-delà l'essieu.

288. Paradoxe provençal : préparer une crémaillère en sirotant une crème de cassis.

287. Qui, du temps, perd les repères, l'heure perd.

286. À la morte saison, les gérants de camping sont dans l'attente.

285. Être Anglais est préjudiciable, quand cela fait mourir sur le cou.

284. Un livre tombé au pied du lit est-il toujours achevé ?

283. Que fait la sorcière avec les appels indésirables ? Elle les philtre...

282. Un vieil homme courtois est un homme amène, âgé.

281. La rumeur galopante est toujours un bruit qui court.

280. Une imprimante n'est pas une confidente, pourtant on lui confie nos impressions.

279. Dévoiler un secret scellé, c'est du joli !

278. Quand on lève le pied, on risque de perdre la main.

277. Le meilleur des réparties... c'est d'où elles sont venues.

276. Quand un opérateur téléphonique veut connaître l'objet de l'appel, il doit parfois creuser.

275. Ce n'est pas parce qu'un dossier de prêt immobilier est à l'étude qu'il est chez le notaire.

274. Le propre pour un agent de surveillance, c'est d'avoir l'alarme à l'œil.

273. Le comble d'un film employant des figurants est de recevoir une critique au vitriol.

272. La fuite des capitaux ? L'argent déménage.

271. Le comble de celui qui étouffe est d'être occis, gêné.

270. Tout le monde voudrait la clef du Paradis, mais comment faire ?

269. [Trop tendre] Le comble d'un tireur à l'arc est d'avoir la corde sans cible.

268. La devise des mousquetaires anti-virus ? Un qui tousse, tous contraints !

267. S’il pleut les jours impairs... on est couverts.

266. [À tout cœur] Vingt cœurs qui battent à l'unisson, voilà une équipe qui gagne !

265. À force de procrastiner, on finit par renoncer à faire carrière car hier est passé.

264. Par définition, un trajet scolaire devrait toujours être “court”.

263. S'expliquer “à couteaux tirés” lors d'un repas, c'est plutôt “lame-en-table”, non ?

262. [À votre tour d'y voir] Le myope qui perd ses verres n'y voit guère ; quiconque persévère voit en fin le bout du tunnel.

261. Quel régime suivre, si déjà je m’aigris ?

260. Celui qui a le mauvais œil semble un peu louche.

259. Le comble des signataires est de faire un siège vent debout.

258. Le pépiniériste connaît l'art de multiplier les pins.

257. 1939-45, par rapport à 1914-18, ne fut guerre mieux.

256. Le propre de l'amante religieuse est de faire son profit du test amant.

255. Que les journaux paraissent, c'est le fruit du travail.

254. [Oh ? Bah !] Le propre d'un château d'eau est de ne jamais être en contrebas.

253. Le temps sera toujours plus vieux aujourd'hui qu'hier.

252. [C'est l'enfance de l'art, Gilles !] Sur la terre en glaise, on voit des hommes de boue.

251. [C'est de l'art, Gilles ?] Le comble, dans le tir aux pigeons, c’est que l’on entende crier “poule” !

250. Le compétiteur peur louper une médaille d'en avoir “trop fait”.

249. Le comble du vainqueur absolu, c'est de jubiler quand on lui remet les chèques.

248. Qui, derrière, reçoit beaucoup de vent, se sent poussé à aller de l'avant.

247. Même une vente au plus offrant est désormais libellée en euros.

246. Comme trop de verres tuent, l'abus d'alcool est un vice (et versa).

245. [La mine des fêtes] Qui a trop souvent le nez dans le verre finit par avoir “un verre dans le nez”.

244. Le représentant en ventilateurs, les vend-il ? On dit qu'il en a l’air.

243. L'encre sympathique du stylo habille les feuilles vierges.

242. Le propre du voyageur égaré, c'est d'avoir les yeux hagards.

241. Dans les bars clandestins, c'est en descendant à la cave qu'on trouvait le remontant.

240. Quand on passe en coup de vent, on risque de s'envoler.

239. Le comble d'un rendez-vous chez la manucure est de se voir reporté à demain.

238. Le propre d'une corde vocale est qu'elle se fait tant tendre.

237. Le silence est un bon sujet de thèse.

236. Un violon sur le toit, c'est comme un air de faîte.

235. Le manque de sommeil nuit.

234. Dormir jusqu’au bout de la nuit détend.

233. Le sommeil paisible se passe d'ennui et repose, en somme.

232. Un bourgogne aligoté est un vin qui tient au corps, ne manque pas de liant.

231. Le comble d'un spirite est d'exercer la science au culte.

230. Dans l'absolu, de tous les pays, seul le Sri-Lanka peut se targuer d'être ex-Ceylan.

229. Une statue de terre cuite, ça tient de boue.

228. Quand des blagues font un tabac, c’est qu’il n’y a pas de fumée sans feu.

227. Les Templiers auraient fait croisade au pays Qatar.

226. La gagnante d'un prix littéraire est heureuse et lue.

225. C'est l'artiste avant-gardiste qui prône l'art-évolution.

224. Le comble du grimpeur solitaire, c’est de franchir les cols avec toute sa classe. Il est maître des cols devant le peloton qui en saigne.

223. Avec une pomme pour nature morte, l'art est net.

222. Le politicien prometteur sera, sous peu, populaire... ou sous peu à la grimace !

221. Un reportage sur le poulpe peut faire couler beaucoup d'encre.

220. Qui part avant crée un précédent.

219. Épater la galerie peut amuser.

218. [Lavis d'artiste] Une peinture ancienne représente aussi un vieil art.

217. Le comble du Père Noël, c'est de succomber au chant des six rennes.

216. Le comble d'un pirate informatique et de viser sa cible “au cœur” (du système).

215. Lire à haute voix, c'est faire entendre l'écrit.

214. La salle dédiée à la transfusion sanguine porte le numéro 109.

213. Le comble du retardataire chronique, c'est qu'il est toujours loin d’être prêt.

212. Le comble d'un roman est d'être composé en caractères gothiques.

211. Rien n'empêche un rosiériste de participer au concours Lépine.

210. Le comble du recruteur est de recevoir tant de demandes qu’il en ploie.

209. Pour un insecte, l'éclairage des spots est attirant.

208. L'œil de Caïn, c'est un peu le Christ à l'un.

207. Intrigue à la (basse) cour ? Quand vous me parlez d'œufs, vous m'embrouillez !

206. Lors des hivers rugueux, quand il y a beaucoup de neige, c'est là qu'on gère.

205. Un bon service de nettoyage sait se mettre à la tâche.

204. D’une nouvelle explosive, on dit qu’elle est diffusée.

203. Le novice qui a fait vœu de silence est interdit de papauté.

202. Le nu est un modèle réduit... à sa plus simple expression.

201. [À muser] De vieux tableaux qui s'effilochent, et voilà les toiles filantes !

200. C'est à ciel ouvert qu'un musée polaire exposerait l'étoile.

199. Par nature, un joli panorama, cela vaut le détour. Enfin… c'est un point de vue !

198. Qui veut épater la galerie ne pense qu’à ça, muser.

197. Quand on n'a plus foi dans la papauté, le sacre écœure.

196. Le propre d'un passant non-chaland est de faire du lèche-vitrines.

195. Le propre d'un soldat du feu est d'oublier sa peur.

194. Si les lecteurs sont parfois curieux de la vie de l'auteur, l'auteur est souvent curieux de l'avis des lecteurs.

193. Le propre d'une lessive est de nettoyer en profondeur habits sales.

192. Si on attend une lettre, il faut ouvrir dès qu'on sonne.

191. Quand l'orateur déclame en vers, quand ses mots coulent de source, on peut boire ses paroles.

190. Le comble du transporteur de cochons est de devoir régler des frais de port.

189. Le propre d'une toiture, c'est d'être bien faîte.

188. On peut dévorer un livre, si, d'aventure, on a soif de connaissances.

187. Le comble du lumignon est de finir l'an terne.

186. Le propre de la lune est d’être visible de votre quartier.

185. Qui fit une EMI la mort de près la vit.

184. D'un ancien mode de communication : “Tel est gramme, le poids des mots”.

183. Les mots doux sont un ensemble de lettres qui peuvent guérir des maux.

182. Si un mot contient plusieurs lettres, une lettre contient plusieurs mots.

181. Champollion a traduit les hiéroglyphes en étudiant les mots mis.

180. [Carnets tchèques] Pour le poète bohème, mot ravit.

179. Quand un repas a plu, “sec” il a bien été arrosé ?

178. Dans un train fantôme, les voyageurs ont l'air hagard.

177. [Haut ! Haut !] Quand la girafe cherche à manger, elle est sûre de son cou.

176. Avant de briser la glace, il faut bien réfléchir.

175. [Déraison perd mise] Le comble du flambeur est de laisser sa chemise pour un jeu à billets.

174. Le comble de l'hypocondriaque bronchiteux est d'avoir vraiment toux.

173. Pour un illustrateur de mode, le coup de crayon dépend de la taille.

172. Le comble d'une imprimante à jet d’encre est de tomber en panne seiche.

171. Le comble d'un instituteur est de sévir, comme mettre des colles.

170. [Appétit d’ogre] Qui dévore les livres ne saurait se contenter d’un petit tome.

169. Le comble d'une litanie, c'est d'être répétée sans foi.

168. Avant qu'un livre ne soit un primé chez Goncourt, il faut qu'il soit imprimé… tout court !

167. Un bon joueur d’échecs est fort en mat.

166. Sur un journal de bord, l'encre est jetée avant qu'elle ne sèche.

165. Le sol d'un labyrinthe n'est constitué que des dalles.

164. Le propre du laitier est de régler ses factures par traites.

163. Qui, retenant ses larmes, n’exprime pas sa peine, la crie mal.

162. Le propre d'un convoyeur militaire et de prendre son car.

161. La note de la crémière, c'est une fiche d’œufs frais.

160. Le comble du cycliste enrhumé c'est qu'il s’enroue pendant que sa chaîne se grippe.

159. Le comble du danseur galant est de se montrer cavalier.

158. Le slow, c'est le moment où le danseur se révèle gars lent.

157. Le propre de la danseuse étoile est d’avoir un corset leste.

156. Le jeu préféré du nombriliste est le je de l'ego.

155. [Faut-il que l'on… six faces ?] Un enjeu passe : quand les dés sont jetés, c'est qu'ils sont pipés.

154. On ne peut éponger la dette en l'effaçant par des craies.

153. Le comble du drapeau suisse, c'est d'être en berne.

152. Le propre des faux billets, c'est de donner le change. Du moins, sont-ce des sous-entendus.

151. Le comble d'un feu follet est de retourner dans ses foyers.

150. L’épicurien aime la table, simplement pour les mets.

149. L’apprenti jardinier a souvent “interro”.

148. Le comble d'un intellectuel est d'avoir besoin d’un manuel.

147. Le diamantaire a la faculté de se trouver dans son atelier alors qu'il est tailleur.

146. S'il fallait leur attribuer une couleur, on dirait que les débats sont tout verts.

145. Quand on est à six sur un banc, on peut se trouver à l'étroit, et même deux fois trois.

144. Le comble d'un groupement d'auberges de jeunesse est de tenir une A.G.

143. Le propre de l'autodidacte émancipé est de devenir un spécialiste hors-père.

142. Un automate bancaire qui n'est pas bien installé, c'est un distributeur de biais.

141. Qui a un caractère bien trempé ne craint pas l'averse.

140. Le comble du prêtre anglais est d'utiliser un service à thé.

139. [Les deux sous de l'affaire] Il faut de l'argent liquide, pour écouler des billets.

138. La légende prétend que la reine Cléopâtre espérait un nouveau-né.

137. Pour se sortir des brumes, il s'agit d'être débrouillard.

136. Le propre d'un camion citerne, c'est d'être aussi brillant.

135. Les politiciens ? Qu'il soient de gauche ou de droite, on les sent tristes.

134. Le comble du fumeur est d'avoir un sobriquet.

133. Le comble du cheval tractant un fourgon mortuaire, c'est de prendre le mors aux dents.

132. Le chevalier Bayard était sans doute sans peur, mais pas centaure.

131. Quand quelque chose m’horripile, faut-il alors que je m’efface ?

130. Qui se met amorphe, ose ? Sortir de son cocon, ce n'est pas mal, en soi.

129. Si le cœur m'en dit, je donne.

128. Le propre du comédien, c'est de dire son texte en faisant bien sans blanc.

127. Le comédien gourmand ne fait pas semblant d'avoir feint.

126. Commentaire imaginaire au musée : “Comme il est grand, ce tableau fait de maître !”

125. La cuisine gastronomique, ce sont des recettes qui mènent à la dépense.

124. Un paradoxe, c'est taxer de vendu celui qui agit par lâcheté.

123. Vu à la porte d'un bar, sûrement pas un bobard : “Entrez, c'est tout verres !”

122. Ce qui est trop cher ne vaut pas le coût.

121. Le cheval : ce n'est pas parce qu'on le voit ferré qu'il faut le confondre avec un cheval-vapeur.

120. Le compositeur sait prendre des notes sans en avoir l'air.

119. Un conservateur doit savoir s'exprimer d'un ton amusé.

118. Le crédo de l'artiste de rue : la place de l'art est publique.

117. Le maître de chais pourrait participer aux prix littéraires : sur ses bouteilles il est écrit vin.

116. Si Bacchus avait pu être contrôlé sur le chemin de Rome, il aurait, dans le ballon, exprimé le souffle dit vin.

115. Tant que l’amour est envie, c’est qu’il n’est pas mort.

114. Le conducteur d'un corbillard est un pilote décès.

113. Les vieux sentant venir la fin, de plus en plus jeûnent, édentés, tandis que les jeunes aux dents longues se montrent envieux.

112. On dit les commentaires, mais comment taire les on-dits ?

111. Tout compétiteur peut rêver d'une belle victoire dans une salle des fêtes.

110. La fuite du temps, sec... que le ciel semble si percé que l'eau en “trombe”.

109. On peut n’avoir jamais aimé les radis ou les navets, bien que l’on ait cru s’y faire.

108. Qui voit un arbre couché sur la route, freine.

107. Des comtes déficitaires, c'est la ruine de l'aristocratie.

106. Le comté bon : pour faire la loi à Sherwood, le shérif prévaut.

105. Le vétérinaire est réputé matinal car il est le veto.

104. Le moment préféré d'un préfet, c'est l'après-fête.

103. C'est évi-dent : le secteur professionnel le moins voyageur ? C'est dentaire.

102. Un vieux coucou, même si ça vole à peine... pour prendre l'air ça vaut la peine !

101. Le propre des confidents est d'aimer leurs secrets taire.

100. Le courage, on ne peut l’acheter.

99. [Spiritu-alité] Le comble d'un ouvrage d'éveil est de dormir sur une étagère.

98. [Amène âgé] Cet homme est plus jeune qu'il n'y paraît, ce qui s'entend soi-disant, .

97. [Cyclisme] La caravane publicitaire est un signe avant-coureur(s).

96. Bue à la bouteille, elle peut laisser un curieux goût, l'eau.

95. Face à une hypothèse des colles, on ne peut qu’adhérer.

94. Un éléphant représenté en trompe-l’œil, il faut l'y voir !

93. La matière est dense, mais danse est l'esprit.

92. Le comble de l'empailleur, c'est d'être la victime d'un faux cerf par le biais d'un homme de paille.

91. Sur les quais d'une gare, l'on s'étreint.

90. Le comble du gaucher est d'avoir un passe-droit dans le milieu.

89. Une crise aiguë peut annoncer un événement grave.

88. La Fontaine était un homme affable qui aimait rendre des contes.

87. Le comble de l'homme maigre est de s'entendre traité d'ingrat.

86. On ne peut dénier à l'humoriste le fait qu'il soit un être super-rieur.

85. Les Munichois sont de grands conteurs : ce sont des bavards-rois.

84. Quand un professeur dispense des cours de médecine, naturellement il enseigne.

83. À tout va : quand on abat sa dernière carte, fatalement, c'est là tout.

82. Un chat sachant chasser : quand il voit la pie, le chat s'agace.

81. Qui monte sur ses grands chevaux finit par tourner les talons.

80. Un bon éleveur de cochons travaille dans les règles de lard.

79. De celui qui déjeune, l’affamé est envieux !

78. Jouer des coudes pour surnager : ainsi font les plombiers devant la fuite du temps ?

77. Comme diraient les bien-pensants, les mauvais penchants mènent à la chute.

76. Le randonneur et le coureur ont la faculté de reconnaître un parcours qu'il n'avaient jamais vu.

75. Le propre des questions tordues, c'est qu'elles se trouvent entre les gauches et les mal à droites.

74. Offre d'emploi : “Police de l’air recherche policiers zélés pour veiller aux vols”.

73. Un repas qui met en appétit commence normalement par la faim.

72. Les poissons d'eau douce préfèrent dormir dans le lit de la rivière.

71. Le seul poisson que le pêcheur pourrait ne pas remettre à l'eau est le gardon.

70. Paradoxe ? La pêche au gros permet de garder la ligne.

69. Le pêcheur bredouille se rattrape au bar.

68. Accuser le coup, c'est condamner peut-être un innocent.

67. Le pêcheur superstitieux jette le sel pour conjurer le mauvais saur.

66. Élément terre : se servir d'une pelle pour creuser un trou, c'est évidant.

65. Un étourneau qui gîte dans un clocher ne peut rester sansonnet.

64. [Le conte est bon] Ainsi commence l'histoire d'un âne : “Il est têtu-une fois…”

63. Que peuvent se dire les vaches en regardant nonchalamment passer les trains ? “Quel train-train, c'est toujours les mêmes convois !”

62. [Le coût du lapin] L'éleveur de lapins est un écologiste de longue date : c'est un adepte du développement du râble.

61. L'amour qui éblouit fait les yeux qu'on plisse.

60. La côte d'amour, c'est l'indice d'épris.

59. Le feu de l'amour, c'est aimer en chenet.

58. Qui en amour brille de mille feux se dit amant.

57. On a peur du lent demain... et pourtant il passe si vite !

56. Comme dirait un naufragé, boire la tasse laisse un goût amer.

55. Comme dirait un recruteur, je prends à l'essai, c'est à prendre ou à laisser.

54. Comme dirait un nutritionniste, les questions de poids, je les gère.

53. Comme dirait un dentiste, croquer la fève mène à la couronne.

52. Comme dirait un cuisinier, il n'y a pas de fumet sans feu.

51. Comme dirait un pêcheur, le poisson adoré finit embroché.

50. À l’école d’horticulture, les jeunes poussent, encadrés par leurs potes âgés.

49. Un Louis sait prêter l'oreille aux sous-entendus.

48. [Femme fatale] Après avoir pris le sourire (amusé) de la Joconde, Léonard de Vinci n'a plus eu un mot d'elle.

47. Il est courant qu'un appareil d’éclairage soit fabriqué en étain.

46. Tant qu’il y aura les armes, de paix il n’y aura guère.

45. [Coup fumant] Qui joue avec une arme à feu peut se faire des cendres.

44. Le genre d'Histoire d’O, c’est de l’art osé.

43. [Histoire d'eaux] Certains ont vu Venise en canaux, d'autres Rome en fleuve.

42. Les artistes à la tête de l'art se complaisent dans l'éloge.

41. Besoin d'air après un bourrage de crâne ? On a déjà l'air conditionné !

40. Le nec plus ultra de l’acteur est d’être digne des loges.

39. Quand un air nous entête, pas de doute à l’écoute, c’est un air auditif.

38. [Art celé] Les riches amateurs d'art aux petits secrets aiment voir les pros les taire.

37. Quelle âme ne vibrerait pas, au son du violon ?

36. Il faut toujours jeter l'ancre avant qu'elle ne seiche.

35. Un âne affamé peut avaler à la vitesse du son.

34. Qui aime donner là le son souvent fait l'âne.

33. Qui se réveille gonflé à bloc, la chambre aère.

32. Pour rester en bonne santé, les aliments sont à varier.

31. Qu'un magistrat siège aux assises, c'est de bon aloi.

30. Qui est élu maire en devient ceint.

29. Un vrai manchot vit dans un pays vraiment froid.

28. Un marchand de glaces est, froidement, par son travail absorbé.

27. Un marchand devin sait lire dans le marc de café.

26. Le propre du bon marcheur est de rester “debout” même dans la gadoue.

25. Qui fait un mariage d'argent fête rarement les noces d'or.

24. Un bon matelas est une marque d'origine alitée.

23. Le bon mâtin sait se réveiller dès potron-minet quand vient la mi-août.

22. Le mélomane matinal apprécie le café qu'on sert.

21. Qu'un menuisier puisse adorer le poisson ? Si !

20. Le top du modèle, c'est d'être toujours en pose.

19. Des phrases bien construites incitent à des mots lire.

18. [Dément songe] Taxé de folie, l'homme dément...

17. [Bâille, bâille !] Bâillement de jour peut-être signe d'ennui.

16. [L’été fait son chaud] Quand le soleil est de plomb, c’est le mercure qui monte.

15. Une lettre peut avoir bien plus de mots qu'un seul mot ne peut avoir de lettres.

14. Celui qui prétend ne pas avoir d’égal n'a pas mal d’ego.

13. Qu'un candidat politique écrive ses mémoires n'inquiète que l'opposant : et s'il était lu ?

12. Pour travailler, il faut remonter ses manches. Mais qui dit manche ne doit pas travailler.

11. Ce qui me nuit ce soir m’atteint.

10. Quand le pétrole se fait rare, les cours montent ; quand l’eau se fait rare, les cours baissent.

9. Qui met trop souvent la gomme... finit par s’effacer.

8. À chat et vante : même quand elle n'est pas à vendre, l'hyène est tachetée.

7. Si le feu fait des cendres, sa fumée monte.

6. Parler avec un cheveu sur la langue, n'est-ce pas zézaiement ?

5. Laver ou nettoyer sont des verbes au sens “propre”. Quand il s'agit du visage, c'est aussi au sens... figuré.

4. Ce qui est toujours en cours finit par être un peu long.

3. Pendant que le chien fait le beau, la vache fait le lait.

2. Un bon pro fesseur excellait, jadis, dans l'art de la correction.

1. Une mise à la retraite doit se faire sous les meilleurs auspices.

 

Ps...itt ! Si vous pensiez être arrivés à la fin, ce n'est que le début ! 😎

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