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Devinettes

Devinettes

Devinettes

(Machinalement)

Comment les bibliophiles allemands nommaient-ils un signet, avant l'apparition de l'euro ?

> Un mark-page.

 

(Délires)

Comment appelait-on le fisc italien, avant l'arrivée de la monnaie unique ?

> Les tire-lires.

 

(Secs machines)

Que commande un robot au comptoir du bar ?

> Une eau-tomate.

 

(Délivrer des livres)

Comment s'appelle un arrivage chez un libraire ?

> Une livr…aison, non ?

 

(Aspirations)

Quelle est la répartie la plus entendue par un représentant en aspirateur éconduit ?

> Allez ! ouste ! du balai !

 

(Pensée sans souci)

Quelle est l’association de fleurs la plus adaptée à une retraite spirituelle ?

> L’anémone – aster.

 

(Feu... de tout bois)

Comment s'appelle le cimetière des meubles brisés ?

> Le “perd la chaise”.

 

(À la lie)

Qu'est-ce qu'un apéritif “divinatoire” ?

> Un cocktail où l'on lit, devin, dans le marc.

 

(Au pied)

Que dit-on devant un champignon inconnu ?

> “C'est qui, stipe ?”

 

(Quand la bise fut venue)

Pourquoi le baiser de la princesse à la grenouille ne le rendit pas prince ?

> Parce qu'il est têtard, le carrosse était parti.

 

(Unis, levèrent)

Que font deux verres qui riment ?

> Tchin ! tchin !

 

(Beaux bars)

Quel est l'endroit où les avocats et les notaires se désaltèrent, en parlant de la pluie et du beau temps ?

> Le bar aux maîtres.

 

(Est-ce prix... de sacrifice ?)

Pourquoi les grands magasins mettent-ils les produits à petit prix au bas des rayons ?

> Parce que « deux sous » c'est pas cher.

 

(Vacance au soleil... de plomb)

Que font des médaillés olympiques à la retraite ?

Alors ?

> Avec l'argent gagné, ils bronzent, naturellement.

 

(C'est tout chant)

Pourquoi les chorales sont-elles plus nombreuses en milieu rural ?

> Parce ses membres ont l'habitude de travailler “aux chants”.

 

(Deux poids, une mesure)

Que l'on soit l'armateur d'un gros cargo ou l'amateur d'un frêle esquif... à quoi ça tient ?

> À l'ancre...

 

(Double sens)

Qu'est-ce qu'un hermaphrodite ?

> Un homme fameux.

 

(À se poêler !)

Quelle est la différence entre une histoire drôle et une appétissante recette de cuisine ?

> Aucune. Elle est bien bonne !

 

(Ce qui en est tissu)

Pourquoi, en confection, faisait-on les « trois-huit » ?

> Parce que le travail par roulement habille.

 

(Là, le son)

Quel est le point commun entre le piano, la harpe et la guitare ?

> Tous à corde, tous s'accordent.

 

(Qui dit vague)

Que chantent des marins enfants-phares dans un rafiot sans lumière ? 

> Il est éteint, petit navire...

 

(C'est l'heur)

Pourquoi se lever du pied gauche est-il signe de ponctualité ?

> Parce qu'on a alors l'occasion de se lever râleur.

 

(Oui mai ?)

Pourquoi le mois de mai est-il celui de l'amour ?

> Parce que c'est mai... tout simplement !

 

(Séance-fiction)

Comment appelle-t-on un film d'anticipation ?

> Un film d'hors-heure.

 

(Ainsi font...)

Pourquoi est-il si difficile de trouver un plombier ?

> Parce qu'ils sont tous en fuite.

 

(Histoire de...)

De l'instituteur aux élèves : “Qui, de la poule ou de l'œuf commença ?”

> “Œufs... c'est d'œufs, leur faute, M'sieur !”

 

(Des coins si danses)

Comment appelle-t-on la clé d'une discothèque ?

> Un ouvre-boîte...

 

(L'enfer du décor)

Pourquoi dit-on que l'enfer est pavé de bonnes intentions ?

> Parce que le malin vous promet une bonne fin damnée !

 

(La roue tourne)

Comment appelle-t-on la durée d’un règne, dans le monde de la « petite reine » ?

> Un cycle !

 

(C'est aile)

Que dit l’élève qui voit son institutrice prendre l’avion ?

> Oh ! ma maîtresse décolle !

 

(Aspirant)

Quel est le jour préféré d’un aspirateur-balai ?

> Le dit-manche car il aspire à ne rien faire.

 

(Fruit de mer)

Quel est l’arbre préféré des naufragés ?

> L’abricotier.

 

(Prix net)

Quel est le prix d’un balai ?

> Un certain nombre de pièces... et des poussières.

 

(Contre eau verse)

Savez-vous de quoi est faite la vaisselle après un coquetèle ?

> De verres trempés.

(Notez qu'il ne faut pas confondre être le nez dans le verre et avoir un verre dans le nez, bien que le second puisse découler du premier !)

 

(Des chênaies déchaînées)

Pourquoi les glands sont-ils un symbole de liberté ?

> Parce qu’ils finissent toujours par se libérer de leur chêne.

 

(Devis net ?)

Que dit-on quand le couvreur a réparé ?

> Une bonne chose de faîte !

Et quand on reçoit la facture ?

> Quelle tuile !

 

(En voix d'extinction)

Comment appelle-t-on un i-phone muet ?

> Un a-phone.

 

(Esprits forts)

Pourquoi les mauvais esprits s’imaginent-ils si forts ?

> Parce qu’ils obéissent à la loi d’une ombre.

 

(Jeu d'rôle)

Pourquoi un acteur de théâtre peut-il naturellement en venir à la publicité ?

> Parce qu’il aime l’art et clame.

 

(L'avis des animaux)

Qu’a dit la licorne, se voyant oubliée par Noé ?

> Ouf ! Sauvée des zoos…

 

(L'haut et le feu)

Quel est le rapport entre le jeudi de l’Ascension et les feux de la saint Jean ?

> Pas celui-ci : l’ascension fait monter, le feu fait des cendres.

 

(Le conte est bon)

Pourquoi un précepteur exerce-t-il un métier noble ?

> Parce qu’il “éduque”, pardi ! 

 

(Lire landais)

Pourquoi les Irlandais ont-ils une telle renommée ?

> Parce qu’ils sont les gens d’Éire.

 

(Médaille... d'or ou d'argent-

Quel est le sport préféré des financiers ?

> Coureur de fond(s).

 

(Policé)

Que fait l’enquêteur quand la victime est un agent des télécom ?

> Il cherche le « mobile ».

 

(Roman-tic)

Comment les romantiques nomment-ils leurs livres préférés ?

> Les lus de mon cœur.

 

(Tout n'est pas rose et violette)

 Pourquoi ne faut-il pas mélanger pensées et soucis ?

> Parce que lorsqu’on s’aime dépenser, on peut récolter des soucis.

 

(Venons-en aux fées)

À quoi reconnaît-on une forêt magique ?

> Elle est pleine de charmes.

 

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